“(mon jardin,) je le retrouve chaque matin lorsque je sors de ma maison à l’aube et qu’immanquablement je m’arrête, ébahi devant tant de grâce qui apparaît pour moi, rien que pour moi, sortant des ténèbres. Je le regarde frémir, comme une bête sauvage de la forêt qui, par je ne sais quel miracle, aurait consenti à se laisser domestiquer.” Teodor Ceric, Jardins en temps de guerre, Actes Sud, octobre 2014.
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